En tant que consultant pour la RSI et Sky Italia, j’aurais dû commenter les tournois d’Indian Wells, Miami, Monte-Carlo, Rome, Roland-Garros, du Queen’s et de Wimbledon. Bien sûr, rien n’a eu ou n’aura lieu et, aujourd’hui, j’en suis à me demander si on jouera encore au tennis cette année.
Nouveau président de l’Association des tennismen professionnels (ATP), Andrea Gaudenzi a confessé, dans une interview accordée à des médias italiens, qu’il avait imaginé pas moins de cinquante scénarios différents.
L’un d’entre eux serait de disputer le plus grand nombre d’épreuves possibles entre septembre et novembre, les deux derniers Grand Chelem à n’avoir pas encore été annulés – l’US Open et Roland-Garros – y compris.
Je peux l’entendre, mais comment fait-on pour passer de New York à Paris, d’une surface en dur à la terre battue, en si peu de temps et sans prendre le risque de blesser la moitié des joueurs?...