Alors qu’aucun des trois salons horlogers incontournables ne s’est tenu en 2020, que vont devenir HourUniverse (ex-Baselworld; Bâle), Watches and Wonders (Genève) et le salon des sous-traitants EPHJ qui se tenait chaque printemps à Genève? Organisateurs de salon, patrons de marques ou sous-traitants de la branche: pour l’heure, aucun des interlocuteurs que nous avons sollicités n’a de réponse définitive.
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Et la pandémie de coronavirus, qui a plombé l’année 2020, n’est pas seule en cause. Le secteur évolue. Le marché était jusqu’à aujourd’hui structuré à l’échelle mondiale par trois acteurs principaux: les marques, les distributeurs et les détaillants. La digitalisation de la production, la vente en ligne et le changement des habitudes d’achat transforme cette organisation traditionnelle.
«Pas de retour en arrière»
Consultant en communication, Yves Vulcan est un fin connaisseur de la branche. Son agence,...