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Acrotec: «Ce qui est pénible, c’est d’être considéré comme une variable d’ajustement»

Solidement ancré, notamment dans la région neuchâteloise, le sous-traitant horloger Acrotec souhaite continuer à se diversifier. Il mise notamment sur la dynamique de groupe et le rachat d’entreprises. A la tête du groupe, François Billig nous détaille la situation.

25 nov. 2020, 17:00
François Billig, patron d'Acrotec, mercredi 25 novembre 2020.

Sollicité par «ArcInfo», François Billig, président du conseil d’administration et directeur général d’Acrotec, nous livre son regard sur la crise que traverse le secteur horloger.

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«Neuf de nos sociétés, sur 20, ont été à l’arrêt entre une et trois semaines lors de la première vague. La dynamique de groupe nous a aidés à coordonner les mesures sanitaires, en apprenant l’un de l’autre et en adoptant les bonnes pratiques rapidement. Le mot d’ordre, au printemps comme aujourd’hui, est de protéger les collaboratrices et les collaborateurs.

Du point de vue commercial, certains clients nous ont permis de mieux résister: dans le secteur de l’horlogerie, l’un n’a pas attendu le délai de paiement pour honorer sa facture, alors que l’autre a même versé une avance! C’est un signe encourageant.

Si notre cœur de clientèle n’avait été porté que par la Bourse, les choses...

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