«Depuis que je suis à Neuchâtel, je n’ai connu qu’un seul métal: l’or. C’est vrai, mais je ne prends rien pour acquis. Samedi, c’est une nouvelle saison qui commence, les cartes sont redistribuées.» C’est une Lauren Bertolacci détendue et optimiste qui s’exprime avant la Supercoupe, face à Aesch, à 18h à Gümlingen (BE).
Il s’agit en fait de l’affiche de la finale de la Coupe de Suisse qui aurait dû se dérouler fin mars. Mais le coronavirus en a décidé autrement…
Peu importe au fond, car le NUC a dans les faits repris le rôle de Volero, avant son départ (temporaire) en France: celui de dominateur du volley féminin suisse. Avec un championnat, une Coupe nationale et deux Supercoupes, les protégées de Lauren Bertolacci n’ont laissé échapper aucun trophée. En battant, à chaque fois,...