«Pourquoi tout est déjà vide? Le volley a terminé plus tôt?» C’étaient les mots du concierge de la Riveraine, tout étonné de trouver la salle déserte dimanche soir à 20h déjà. Le NUC venait en effet de «régler» l’affaire Toggenburg en trois petits sets et 62 minutes, signant un troisième succès de rang.
Cela pourrait devenir une de leurs marques de fabrique. Lorsque l’on va assister à un match de Toggenburg, il ne faut jamais s’attendre à voir l’équipe débarquer en rangs serrés. Et donc, ce dimanche soir encore, les Saint-Galloises ont respecté leurs habitudes. Elles s’étaient déplacées à la Riveraine avec les moyens qui sont les leurs; un effectif de neuf joueuses simplement encadrées d’un coach, d’un assistant et d’un physio.
Mais attention, même si le score final peut paraître sec, ces dernières ne se sont pas contentées de tendre sagement la joue. Avant de perdre totalement pied dans...