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Elise Boillat se relance avec le NUC après son burn-out

La Jurassienne du NUC fut l’un des grands espoirs du volleyball féminin avant d’être victime d’un «burn-out» entre sport et études. Ce dimanche (17h à la Riveraine), elle suivra certainement le derby contre son club formateur depuis le banc.

06 nov. 2020, 15:52
Elise Boillat sait à quoi s'attendre avec la première équipe du NUC.

Ses mots sont forts autant qu’ils sont rares dans la bouche d’une sportive d’élite de sa trempe. «Je n’ai jamais rêvé d’une carrière de joueuse professionnelle. Cela n’a jamais été un de mes objectifs», dit-elle. Le parcours de volleyeuse d’Elise Boillat laisse songeur. Les virages qui le jalonnent sont déjà nombreux; et on ne peut s’empêcher de se laisser gagner par une impression de gâchis lorsqu’on y jette un œil extérieur.

Ou peut-être les choix cette jeune femme d’à peine 22 ans ne sont-ils que le résultat d’une immense maturité de sa part? Sans doute y a-t-il un peu des deux. «En Suisse, très peu de joueuses peuvent vivre de ce sport. Il aurait fallu partir à l’étranger. Et suivre des études à distance à côté du sport exige une discipline de fer. Je n’en aurais jamais été capable.»

Jouer pour le plaisir, c’était rigolo un moment.
Elise Boillat, joueuse...
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