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Quand la politique fait son cinéma: on vous raconte le monde du bon côté

28 nov. 2020, 12:00
Jean-François Albelda, responsable culture du "Nouvelliste".

Le cinéma est politique. L’inverse est assez vrai aussi. Mais Orson Welles, Ken Loach, Michael Moore, Spike Lee, le Charlie Chaplin du «Dictateur» ou des «Temps modernes»... La liste des cinéastes qui considèrent leur art comme un véhicule idéologique est longue. Même les films de super-héros, qu’on pourrait, comme Martin Scorsese, juger vains et vulgaires, offrent un éclairage assez frappant sur le contexte sociopolitique de l’époque où ils sont produits.

Oui, le cinéma est politique. Enfin, bon, peut-être pas l’intégralité de la production mondiale toutes époques confondues. «Mon curé chez les nudistes» (1982) – avec l’excellent Paul Préboist – ou «Les Charlots contre Dracula» (1980), pas sûr qu’on puisse y trouver quoi que ce soit d’engagé ou de revendicateur. Croyez-le, croyez-le pas, ce dernier film fut ma première frayeur cinématographique. Même s’il tenait plus du jus de navet que de l’hémoglobine... Mais à bien y réfléchir, tourner en dérision un...

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