Georges Csonka a tout vécu ce printemps: son mariage, ses 50 ans et la promotion de Neuchâtel Xamax. Responsable de la sécurité à la Maladière depuis 2014, lorsque Terry Wilsher (actuel responsable des clubs de soutien) lui a transmis le témoin après une année de formation, ce Hongrois d’origine n’est pas effrayé par les défis qui l’attendent.
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«Je me réjouis de la promotion», lâche-t-il. «Pour moi, ce sera plus simple de gérer un match à l’extérieur à Bâle qu’à Breintenrain, par exemple. A Saint-Jacques, tout est quadrillé et encadré. Dans des petits stades de village, les supporters se mélangent plus facilement entre eux et avec les familles, c’est plus compliqué.»
Encore footballeur en vétérans (à Boudry) et ancien entraîneur, Georges Csonka a voulu aider Xamax lors de sa reconstruction et va s’investir davantage. Employé d’un magasin de...