A Neuchâtel, tout le monde (ou presque) connaît le bar Au 21. A la Maladière, tous les spectateurs (ou presque) connaissent le No 21. Thibaut De Coulon (24 ans) n’a pas eu besoin d’aller chercher bien loin pour trouver son numéro fétiche, celui du bar de son père Bertrand. «J’avais pris ce numéro quand j’ai intégré la première équipe en 2011. Je ne l’avais pas à Delémont (il y a joué six mois après la faillite) et ai dû attendre que Viola s’en aille avant de le retrouver au début de la saison 2013-2014. Je partage beaucoup de choses avec mon père. Du coup, mon numéro fétiche s’est vite imposé à moi. Le clin d’œil est sympa», explique le Xamaxien d’aujourd’hui.
Car Neuchâtel Xamax constitue une vraie histoire de famille chez les De Coulon (voir ci-dessous). Le fiston, arrivé à l’âge de 12 ans en provenance de Boudry, y...