Une équipe qui gagne, c’est un puzzle qui se met gentiment en place. Un club sain, où il fait bon vivre, des joueurs de talent, complémentaires et engagés. Et évidemment, un staff technique capable de sublimer le tout. Or, celui des gardiens est un rôle à part. Et si Xamax, depuis sa renaissance, brille de mille feux, c’est aussi grâce au travail de Luca Ferro. Il est loin le temps où Gilbert Gress estimait qu’on pouvait se passer d’un entraîneur des portiers...
L’Italien, ex-«numéro 1» du FCC et des «rouge et noir», tête brûlée, désinvolte, parfois chambreur sur le terrain (n’avait-il pas ramassé et bu, en plein match, un gobelet de bière envoyé par les supporters sédunois?) s’est reconverti en préparateur exigeant des gardiens xamaxiens, y compris ceux de la Fondation Gilbert Facchinetti.
Une réelle liberté
«Je demande beaucoup, c’est vrai, mais je ne force pas mon caractère. Une blague,...