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Avant Xamax - Zurich: avec onze joueurs à 120%

Les Xamaxiens retrouvent le championnat ce samedi avec la venue du FC Zurich. Pour regoûter aux joies de la victoires, la recette n'est pas compliquée. Reste à la suivre avec application.

23 nov. 2018, 21:33
/ Màj. le 24 nov. 2018 à 17:24
Mike Gomes et Cie ont besoin d’un résultat positif pour retrouver confiance.

«Il nous reste quatre matches de Coupe à disputer. Si nous ne sommes pas à 120%, je ne vois pas comment nous pourrions nous en sortir.» Le discours de Michel Decastel est clair avant la première des quatre parties qu’il reste à Xamax cette année, ce samedi face à Zurich (19h à la Maladière). Les Neuchâtelois iront ensuite à Lugano et Saint-Gall avant de recevoir Young Boys.

Mais n’allez pas croire que la sinistrose s’est emparée du vestiaire «rouge et noir». «J’ai revu le match contre Grasshopper (réd: défaite 3-2 avant la pause internationale).

Hormis deux occasions concédées, nous n’étions pas sous l’éteignoir de GC. Nous nous mettons dans l’embarras par nous-mêmes en perdant des ballons bêtement», se souvient Michel Decastel.

«C’était pareil contre Lucerne, où nous menions même avant de concéder l’égalisation en fin de première période (défaite 2-1 au final).»

«Autant contre Saint-Gall (revers 3-2), que Lucerne ou Grasshopper, je retiens que nous ne perdons qu’avec un but d’écart. Nous ne sommes pas loin. Il faut désormais faire le nécessaire pour avoir ce petit truc en plus. Nous avons l’équipe pour réussir une grosse performance susceptible de nous permettre de prendre les trois points. Y parvenir à domicile nous ferait grand bien en termes de confiance. Il faudra soigner les détails», confirme le défenseur Mike Gomes.

Reste à mettre la théorie en pratique. Les Xamaxiens en sont conscients. «Nous avons parlé et tiré les conclusions de notre défaite contre Grasshopper. Mais les discussions ont leurs limites. C’est désormais sur le terrain que nous devons agir», reprend le No 23 xamaxien.

Agir et non réagir, tel est le credo de Michel Decastel. «Nous avons démontré, à Bâle (1-1), à Zurich (0-0) et à Thoune (2-2) que nous pouvions être solides et costauds hors de nos murs. En Super League, nos adversaires viennent nous chercher, même à domicile. Pour autant, je suis convaincu que nous sommes capables d’imposer notre jeu», relève le boss de la Maladière.

«Zurich est une équipe solide, qui se replie rapidement et ‘explose’ quand il s’agit de partir vers l’avant. Néanmoins, il faut aller les mettre en danger. Sans faire de conneries (sic).»

«Nous devons en faire davantage pour que le contenu soit plus consistant sur une plus longue durée. Nous avons besoin d’un match de référence», relance Mike Gomes.

«Il faut que nous exploitions nos temps forts et que nous n’encaissions pas lors de nos moments plus difficiles», enchaîne Michel Decastel. «Mais c’est à onze, pas à neuf, que nous y parviendrons.»

Reste au coach à effectuer les bons choix quant aux hommes capables de faire chuter le FC Zurich. Seuls Djuric, Santana et Mulaj (blessés) ne sont pas à disposition du coach neuchâtelois.

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