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Denis Oswald explique pourquoi les JOJ 2020 à Lausanne ont été si positifs

Derrière l’abréviation CIES se cache le Centre international d’étude du sport, dont le siège est installé dans le palais DuPeyrou, à Neuchâtel. Chaque mois, un chercheur du centre nous propose son regard sur une question d’actualité. Aujourd’hui, Denis Oswald, membre du CIO et ancien médaillé olympique, donne sa vision sur les récents Jeux olympiques de la jeunesse.

27 févr. 2020, 17:00
Les JOJ ont assuré une belle promotion de l'olympisme. Ici, la Neuvevilloise Amélie Klopfenstein (au centre) avec sa médaille d'or du géant, entourée de la Finlandaise Rosa Pohjolainen et de l'Autrichienne Amanda Salzgeber. (KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)

Les 3e Jeux olympiques de la Jeunesse (JOJ) Lausanne 2020 ont non seulement connu un immense succès populaire, mais également un bilan organisationnel et sportif très positif. L’engouement pour une manifestation que le grand public ne connaissait que peu voire pas du tout a été exceptionnel, certainement grâce à la magie de l’olympisme.

Pour le CIO, les JOJ offrent aux meilleurs jeunes athlètes du monde une première expérience des Jeux, un rêve encore lointain à ce stade de leur carrière. Mais servent aussi au comité de «laboratoire» d’innovation et durabilité dans l’esprit de son «Agenda 2020», qui prévoit des manifestations simples, économiques et durables.

A Lausanne, cet objectif a été atteint de différentes manières. Exploitations d’installations existantes, d’où la tenue d’épreuves à Saint-Moritz et aux Tuffes en France voisine; déplacement des sportifs et des dirigeants en transports publics, en particulier en train vers les sites de Villars, des Diablerets et...

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