Depuis toute petite, Marie Léa Zwahlen est fascinée par l’espace. Un temps, la future déléguée culturelle du Club 44 hésitait même à devenir astrophysicienne. Peut-être est-ce là l’origine de sa passion pour le cinéma fantastique et la science-fiction?
Pour cette jeune maman, le genre permet aussi d’interroger les comportements et la place de l’homme au milieu de cet infiniment grand, entre nouvelles planètes à explorer et extraterrestres à rencontrer. Elle se réjouit par exemple de voir «His Master’s Voice», du cinéaste Hongrois György Pálfi (2018). A voir le 9 juillet au Passage (16h45) et le 12 juillet aux Arcades (14h).
Plus terre à terre, «Touki Bouki», de Djibril Diop Mambéty, présenté dans le cadre d’un focus sur le cinéma subsaharien, lui rappellera son enfance dans cette région du monde. A voir au Rex le 6 juillet (17h15).
En savoir plus : le programme complet sur le site du festival