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Johanne Lebel Calame, québécoise, vallonnière et femme engagée

Traductrice-correctrice de profession, la députée socialiste Johanne Lebel Calame se distingue par sa profonde humanité.

20 févr. 2018, 17:46
«Je viens d’une région où les gens ont l’habitude de se battre, de s’engager», dit Johanne Lebel Calame à propos de Rimouski, sa ville natale.

Le Québec-Nottingham-Travers: trois lieux qui résument, bien partiellement, le parcours de Johanne Lebel Calame. Au départ, rien ne destine la Canadienne à s’installer dans le canton de Neuchâtel.

La voix douce, l’attitude chaleureuse, une légère pointe d’accent québécois: Johanne Lebel Calame, au premier regard, ne dégage pas l’impression qu’on peut se faire d’une politicienne chevronnée.

Aujourd’hui, pourtant, la Vallonnière d’adoption est une figure publique de la région. Artisane zélée de la fusion de Val-de-Travers, elle s’est fait une place dans les mondes politique et associatif.

Le fleuve, là-bas, on appelle ça une mer. Il est salé, ça sent l’iode.»

Son intelligence, sa gentillesse, celle-ci apparaît naturelle, en font l’une des personnalités les plus appréciées au Grand Conseil. On a beau avoir cherché, notre premier sentiment est confirmé. Johanne Lebel Calame est profondément humaine. Une humanité qui guide son travail et ses engagements. Et personne ne nous a contredit.

Des études...

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