Produire du lait, de la viande ou des légumes implique de plus en plus souvent des technologies de pointe comme les drones, les images satellites ou les capteurs placés dans le sol pour mesurer la température ou l’hygrométrie. Ces appareils permettent de récolter des masses d’informations: état de santé du bétail, stade de développement des cultures, météo, besoin en eaux ou en produits phytosanitaires…
L’agriculture connectée est au menu de l’Université de Neuchâtel les 19 et 20 septembre. Scientifiques, agriculteurs et responsables politiques sont conviés par les instituts de géographie et d’ethnologie à une rencontre internationale sur le «smart farming». L’occasion de discuter de l’évolution des métiers de l’agriculture et de l’impact social de cette transformation.
Transmises et analysées par l’informatique, ces données permettent d’assister la gestion des exploitations, voire d’interagir directement avec les robots et machines agricoles autonomes, qui nourrissent le bétail, arrosent, traitent et récoltent les cultures.