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Hôpital neuchâtelois: nouvelle vie pour le site du Val-de-Travers

Le site du Val-de-Travers de l'Hôpital neuchâtelois, comme cela avait été annoncé, va perdre ses activités dans le domaine de la réadaptation. Elles seront remplacées par d'autres activités "qui permettront de garantir un accès à des soins de qualité", indiquent les partenaires concernés, parmi lesquels le Conseil communal de Val-de-Travers.

01 févr. 2017, 09:43
/ Màj. le 01 févr. 2017 à 15:00
Hopital neuchatelois: le site de Couvet    COUVET 08 03 2012  PHOTO: CHRISTIAN GALLEY

Conformément aux décisions prises par le Grand Conseil en novembre 2015, les activités de réadaptation du site du Val-de-Travers de l'Hôpital neuchâtelois (HNE) seront transférées, ce printemps, sur les sites du Val-de-Ruz et du Locle. Tous les emplois, soit une cinquantaine d'EPT, sont maintenus.

Après l’étude de différentes options par les autorités cantonales et communales, en partenariat avec différents acteurs de la santé, il a été décidé que les bâtiments de Couvet seront réaffectés en centre de compétences pour les personnes cérébrolésées et en maison de santé. "Les futures activités de ce site HNE (réd: toujours avec policlinique et SMUR) permettront ainsi de garantir un accès à des soins de qualité et de conserver la vocation de centre de soins", indiquent les partenaires dans un communiqué.

Le fruit de deux ans de réflexion

"C'est une réponse intelligente à une multitude de besoins et qui s'inscrit dans le concept 'un canton, un espace' dont le Val-de-Travers fait évidemment partie", a affirmé le conseiller d'Etat Alain Ribaux ce mercredi à Couvet, en présence de Laurent Kurth, du conseiller communal de Val-de-Travers Thierry Michel, du directeur général de la fondation des Perce-Neige Vincent Martinez, et de Sandra Jeanneret, directrice des soins à l'HNE.

Les objectifs de ce projet, fruit de deux ans de réflexion, sont de continuer à développer les soins proposés à la population de la région, d'offrir un lieu de vie aux personnes cérébro-lésées ou en autonomie réduite, de maintenir les emplois et d'offrir un lieu de formation dans le domaine du santé-social.

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