Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

C’est quoi la suite?

Manuela Honegger, coorganisatrice de la grève des femmes, dresse un bilan et évoque l’après-14 juin.

15 juin 2019, 00:01
Sibel Arslan, Nationalraetin GP-BS, rechts, macht ein Selfie mit Nationalratspraesidentin Marina Carobbio Guscetti, Bundesraetin Viola Amherd und Nationalraetin Isabelle Moret, von rechts, bei einer Kundgebung zum Frauenstreik auf dem Bundesplatz, am Freitag, 14. Juni 2019 in Bern. (KEYSTONE/Peter Klaunzer) SCHWEIZ FRAUENSTREIK GROSSKUNDGEBUNGEN

La mobilisation le jour de la grève des femmes a-t-elle répondu à vos attentes?

La mobilisation est bien plus importante que ce que nous attendions. Il y a un an et demi, nous n’étions que quelques-unes à discuter de la grève des femmes. Aujourd’hui, nous sommes des milliers à être dans la rue. Cette mobilisation est extraordinaire! C’est magnifique, je suis très contente. C’est grâce à l’alliance entre mouvements féministes et syndicats que cette journée a pu avoir lieu. Ce 14 juin est historique et représente une grande réussite politique.

La grève a eu un grand écho dans les médias du jour…

Ce qui change par rapport à la dernière grève des femmes en 1991, c’est le travail des médias, qui est magnifique! Ils ont abordé des thématiques très diverses, comme la sexualité, le droit du travail, la pauvreté, ou encore l’autodétermination (réd: le droit des femmes de faire ce...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias