Une femme, une compétence, une carrière, une intelligence, une intuition, une force, une joie, une vie, une envie, une sagesse, une croyance, une âme, une lumière, une flamme, une musique, une danse, une naissance, une famille, une victoire, une liberté, une justice, une chance, une guérison, une aide, une solution, une réouverture, une réussite, une harmonie, une persévérance, une rémunération.
Mais aussi une pandémie, une folie, une bêtise, une angoisse, une mort, une remontrance, une haine, une grimace, une entrave, une prison, une hécatombe, une faiblesse, une faute, une tromperie, une impasse, une idiote, une arrogance, une colère.
Un homme, un espoir, un rêve, un désir, un bonheur, un soulagement, un paradis, un courage, un esprit, un sourire, un service, un regard, un câlin, un cœur, un amour, un sentiment, un équilibre, un mot, un livre, un journal, un art, un succès, un projet, un job, un salaire.
Mais aussi un confinement, un meurtre, un piège, un enfer, un malheur, un virus, un tsunami, un poison, un assassin, un problème, un excès, un désastre, un esclavage, un tort, un échec, un licenciement, un cul-de-sac, un scandale, un con, un arrivisme, un mépris.
Féminin, masculin, pas mieux, pas pire.
Lundi, c’est le 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, jour de remise en question. A quand, enfin, l’égalité pour toutes et pour tous?