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Si toi aussi tu as le nez qui pique

L’arrivée du printemps rime avec rhume des foins pour notre journaliste Vicky Huguelet.

26 févr. 2021, 05:30
AirDutemps-VickyHuguelet

Atchoum!

Ça y est, c’est parti. On se réjouit des premiers rayons du soleil. On a enfin une bonne raison de sortir de chez soi. Et paf, le voilà qui débarque, à peine le thermomètre a-t-il atteint les dix degrés.

Ce satané rhume des foins me colle à la peau (ou plutôt aux naseaux) depuis aussi longtemps que je m’en souvienne. On dit que ça peut évoluer avec l’âge. C’est vrai: je ne finis plus avec les yeux qui coulent et de l’asthme carabiné. Ça s’arrête aux grattements, au nez bouché et au sifflement des bronches.

Atchhiiii!

Au bureau, mes collègues m’appelaient Pikatchu, du temps où on pouvait encore se rendre à la rédaction. Faut dire que mon éternuement est particulier. Je me pince le nez. Il paraît que ça fait péter les vaisseaux dans le cerveau (mais bon, j’ouvre la bouche, ça doit aller… hein?).

Au début de la saison, mes proches me disent «santé». Puis, après dix éternuements à la demi-heure, ils finissent par se lasser. Je les comprends, moi aussi.

Snirf…

Il y a quelques années, ça ne durait que quelques mois. Mais, avec le réchauffement climatique, ça commence de me démanger mi-février et ça se termine en septembre. Si j’ai de la chance. Ça ne laisse plus beaucoup de mois avec le pif libéré, si on chope le rhume en hiver… 

J’ai tout essayé. Les médocs qui font dormir. Les recettes de grand-mère. Les pierres précieuses. Les huiles essentielles. Jusque-là, rien n’a été totalement efficace. Qui a la solution miracle?

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