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«Corona-TV», l’Air du temps de Raphaèle Tschoumy

Découvrez la chronique «Air du temps» de Raphaèle Tschoumy.

27 avr. 2020, 05:30
AirDutemps-RaphaeleTschoumy

Depuis le virus, sur toutes les TV du monde, on n’est plus «avec» les invités. On est carrément chez eux grâce à leur webcam ou leur smartphone, et on découvre leur univers quotidien. 

C’est très imparfait (Ah, ces gros nez bien trop près de la caméra…!). Mais cette hyper-proximité permet de lancer un petit jeu de confiné(e)s que l’on pourrait appeler: «A la recherche de l’objet familier». Vous êtes prêt? On y va.

La semaine passée, j’ai vu chez différents invités de différentes chaînes de télévision: 

  • un canard empaillé posé non loin d’une trancheuse (si!),
  • une prise électrique multi-câblée (très joli!),
  • le début d’une reproduction d’un Miró (mais pas tout),
  • une boîte de «Vache qui rit» à moitié vide (avec la petite ficelle),
  • un chat noir et blanc (mais plus noir que blanc),
  • un pot de yoghourt renversé (grrr, cette cuiller toujours trop lourde…),
  • le haut des cornes d’un animal (un cerf peut-être?),
  • des dentelles délicates sur un canapé (pas chez un jeune),
  • un plafond tout blanc (un peu trop d’ailleurs)
  • une bibliothèque pleine de livres (je n’ai pas vu le mien),
  • un cadre avec une photo de toute la famille (en maillots de bain),
  • trois paquets de spaghettis (numéro 7),
  • et une plante verte (qui meurt de soif).

Qui dit mieux?
Vous verrez, dès ce soir et parce que la télévision n’a jamais été si proche des gens, vous ne regarderez plus jamais ces images de la même manière. A vous de jouer!
 

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