Il paraît qu’un méchant et perfide troll provoque des ravages dans les montagnes de notre beau canton. Mais il ne semble pas sévir que là-haut, où les crêtes sont restées trop longtemps vertes cet hiver. A propos, faudrait se demander si ledit troll faux-de-chonnier ne serait pas le responsable du réchauffement climatique en plus d’être celui d’un bouillon numérique. Bon, passons…
Parce que ce troll, ou un de ses frères ou cousins, se montre aussi actif et nocif dans d’autres domaines. Et ses agissements sont parfois pervers et diablement habiles. Par exemple, ce nuisible organisme, pour l’instant non identifié, est parvenu, on ne sait pas trop comment, à se glisser dans les entrailles d’un article et à en modifier son contenu. A l’insu de son auteur, halluciné par cette manœuvre.
Heureusement, cette intrusion a été rapidement maîtrisée et des mesures ont été prises pour que ce genre de perfidie ne puisse plus se reproduire. Néanmoins, les méfaits de ce «parasite» sont dévastateurs.
De quoi vous faire perdre la raison et devenir parano. Ce maudit troll finit par rôder dans la tête et on finit par débloquer un peu. Surtout quand une vilaine «crève» aggrave votre état mental.
A chacun son troll, direz-vous. Peut-être, mais essayez juste de ne pas trop y penser, sinon vous risquez de devenir un troll vous-même. Et ça, il paraît que c’est grave. N’est-ce pas docteur?