«Chez les professionnels comme chez les amateurs, nous avons constaté une augmentation d’environ 25% du nombre de blessures. C’était incroyable. Il y a eu beaucoup plus de problèmes musculaires aux ischio-jambiers, aux adducteurs, de pubalgies, aux mollets mais aussi ligamentaires.» Mitko Bogoev, physiothérapeute de Xamax et dans deux cabinets en ville de Neuchâtel notamment, a vécu au plus près l’impact de la pause forcée du printemps sur les footballeurs amateurs de la région. Il n’était alors plus possible pour les équipes de s’entraîner de manière «normale» entre mi-mars et début juin. Fin octobre, une nouvelle pause a été décrétée, de durée indéterminée.
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«Lorsqu’on se retrouve plus isolé, il est plus compliqué de rester motivé et de suivre un programme d’entraînement et alimentaire. La reprise s’est souvent effectuée directement avec des charges de travail assez élevées, afin de pouvoir être compétitif...