«Rétablir la confiance à tout prix: la Confédération ouvre une créance de 6 milliards auprès de l’UBS, et la Banque nationale couvre pour 54 milliards le transfert de ses titres invendables», explique les quotidiens neuchâtelois en ce mois d’octobre 2009. La crise des subprimes aux Etats-Unis touche de nombreux établissements bancaires. La Suisse n’est pas épargnée.
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«Les grandes banques suisses, UBS et Credit Suisse, sont largement surcapitalisées en comparaison internationale et leur situation est saine, mais le système reste grippé», lit-on. «Question de confiance, analyse le Conseil fédéral, qui a attendu «le bon moment» pour intervenir. Il s’y était préparé, avec la Banque nationale suisse et la Commission fédérale des banques», est-il expliqué.
«Son assainissement représente la sécurisation du système bancaire et financier helvétique. Cette intervention permet d’avoir un bilan assaini. On fait au niveau suisse ce que Genève et Berne...