Réalisé en 1372, «le Cénotaphe de la Collégiale de Neuchâtel n’est pas un monument unique en son genre en Europe, mais il est le seul à représenter un nombre aussi important de personnages», indique «L’Impartial» du 27 août 1993.
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Il a traversé les siècles sans trop de dommages en échappé aux exactions des réformés du 16e, des révolutionnaires du 19e ou aux frasques des écoliers. Mais, en 1993, il n’a plus eu droit à une restauration depuis plus de 100 ans.
«L’importance du monument a été qualifiée de ‘toute première catégorie’ par le Pr Peter Kurmann, titulaire de la chaire d’histoire de l’art médiéval de l’Université de Fribourg. Pour Christophe Amsler, architecte lausannois, mandaté par la ville (il travaillera en collaboration avec un collègue neuchâtelois qui n’a pas encore été désigné), il faudra étudier deux sortes de maux et y remédier:...