«L’info diminue, il n’y a plus ni sport, ni manifestations… Alors on parle surtout du virus. Et on égaye le confinement», explique Pierre Steulet, patron du groupe BNJ (la radio neuchâteloise RTN, ainsi que RJB, RFJ et la radio musicale Grrif).
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Les audiences sont excellentes, avec, par exemple, une progression des écoutes sur le web de 60% pour RTN (comparaison entre la période du 29 février au 13 mars et celle du 14 mars au 27 mars).
Mais les projections financières sont moins réjouissantes. Le groupe a donc choisi de recourir au chômage partiel. Il est effectif depuis le 21 mars, avec un taux moyen de 40% pour BNJ FM (rédaction et animation) et de 80% pour le service commercial. Du côté de...