«Je suis heureuse!» Telle est la première réaction de Chantal Duc, propriétaire de l’Atelier Pilate, à Neuchâtel (elle dispose aussi d’une salle à Gals) en apprenant les décisions de ce mercredi du Conseil fédéral.
«J’avais besoin de retrouver, physiquement, mes participants», affirme-t-elle. Chantal Duc n’est pourtant pas restée inactive durant la longue période de restrictions. «J’ai organisé des cours à distance, j’ai aussi pu organiser quelques séances au bord du lac, mais là c’est différent. On retrouve une certaine normalité.» Qui est aussi précieuse du point de vue financier. «J’ai certes reçu quelques aides, mais une fois payé le chômage aux employés, il ne restait pas grand-chose pour vivre.»
«Il faut être bien dans son corps pour être bien dans sa tête»
Du côté de La Chaux-de-Fonds, Grégory Branchini, patron du...