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Privés de sports pendant des mois, des jeunes Neuchâtelois témoignent

Certaines n’ont pas pu s’entraîner durant près d’une année, d’autres le temps de quelques mois. Pourtant, le constat est le même pour ces six jeunes Neuchâtelois: le sport contribue à leur équilibre. En être privé a été une épreuve. Ils témoignent.

18 mars 2021, 05:30
Jules Prysi est confiant: "Avoir été autant privé de bouger me donne envie de tout bouffer pour l’avenir", assure le jeune joueur de tennis du Tennis club Peseux.

«Je sentais que je n’étais plus tout à fait moi-même». «J’ai pris du poids». «Certains amis se sont refermés sur eux-mêmes depuis le début de la crise». «Moins j’en faisais et moins j’avais envie d’en faire».

Ils en ont morflé, les jeunes. Après plusieurs mois d’interruption forcée – près d’une année pour certains –, les personnes âgées de 16 à 20 ans pratiquant un sport individuel sont à nouveau autorisées à s’entraîner normalement depuis le 1er mars.

A lire aussi: «Ces périodes compliquées forgent notre résilience», selon Nina Jokuschies, psychologue du sport

Six d’entre eux nous racontent comment ils ont vécu cette période. Ils nous parlent de leurs difficultés, de leurs doutes, mais également de leurs espoirs.

Des sports individuels collectifs

Même s’ils pratiquent des sports individuels, la présence d’autrui a manqué aux adolescents. «C’est difficile de s’entraîner seule à la maison», affirme Lucie Morandi, judokate de 18 ans au...

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