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Pour faire face au coronavirus, les grands-parents réinventent leur quotidien

Comme beaucoup d’aînés, Marie-Thérèse et Jean-Michel Erard ont dû affronter la coupure brutale avec leurs enfants et petits-enfants, coronavirus oblige. Fondateur de l’association, L’Ecole des grands-parents Neuchâtel, ce couple de Savagnier reste en contact avec ses membres et réinvente son quotidien.

03 avr. 2020, 14:17 / Màj. le 06 avr. 2020 à 10:30
Marie-Thérèse et Jean-Michel n'accueillent plus personne dans leur demeure, mais ils regorgent d'inventivité pour maintenir les échanges avec leur proches.

«On avait l’habitude de garder nos petits-enfants, et d’un jour à l’autre, c’était fini. On a basculé dans la catégorie des personnes âgées à préserver alors qu’on est en bonne santé. On comprend ces mesures, mais la coupure est brutale», confie Marie-Thérèse Erard.

Comme beaucoup d’aînés, cette habitante de Savagnier et son époux Jean-Michel, 68 et 70 ans, ont dû renoncer aux visites de leurs enfants et petits-enfants. Ils ont dû aussi mettre entre parenthèses les activités de L’Ecole des grands-parents Neuchâtel, l’association qu’ils ont créée en 2015.

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Mais pour ces retraités débordant d’énergie, pas question de rester les bras ballants. Si les rencontres en direct sont impossibles en raison du coronavirus, ils ont décidé de garder le contact avec leur entourage en adaptant leur quotidien.

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