Ils sont beaucoup parmi les tenanciers ou gérants de restaurants, cafés et bars neuchâtelois à craindre l’obligation de récolter électroniquement – et non plus sur papier – les données d’identification d’au moins un client par table.
Certains estiment que cette nouvelle mesure imposée dès ce vendredi 23 octobre influencera la fréquentation de ces établissements, déjà impactée par le retour de l’obligation de consommer assis.
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«Données fantaisistes»
Alors, pourquoi les autorités ont-elles décidé de mettre fin à la possibilité de récolter les données sur papier? «Cette méthode pose de nombreux problèmes», explique Pierre-François Gobat, chef du Service neuchâtelois de la consommation...