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Le coronavirus a secoué le quotidien des food trucks neuchâtelois

Les temps sont durs pour les propriétaires de food trucks qui sillonnaient habituellement les festivals. Même s’ils ne souffrent pas autant que les restaurateurs, les patrons des camions neuchâtelois ont subi des pertes. Petit tour d’horizon avec Scapino, Lo Montagnon et la B’Art mobile.

08 avr. 2021, 13:59
Propriétaire du food truck Lo Montagnon, Lionel Billard, et Isaline, ont servi une septantaine de plats ce mardi devant l'entreprise Mikron, à Boudry.

Depuis le début de la pandémie de Covid-19, l’annulation des festivals et manifestations est un coup dur pour les propriétaires de food trucks. Si certains ont pu récupérer une partie de la clientèle des restaurants, ils ont néanmoins subi des pertes.

Face à la fermeture de leur établissement, certains tenanciers espèrent, en revanche, sortir leur épingle du jeu en proposant des mets dans une roulotte. Trois patrons de camions-restaurant neuchâtelois, Scapino, Lo Montagnon et la B’Art mobile, racontent.

Scapino: «On faisait entre 120 et 130 jours par an de festivals»

«Avant la pandémie, on faisait entre 120 et 130 jours par an de festivals dans toute la Suisse, de mai à septembre», raconte Loïc Liechti, qui a lancé son entreprise de food trucks, à La Chaux-de-Fonds, en 2016.

Depuis l’apparition du coronavirus, ses camions sont à l’arrêt, ou presque. Récemment, il a dû se résoudre à vendre ses deux véhicules,...

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