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Le «Coronablues» des profs de danse neuchâtelois

Non, ils ne lâcheront pas la barre malgré des chiffres d’affaires en chute libre! Cinq directrices et directeurs d’écoles de danse neuchâtelois témoignent de leur lutte pour se maintenir à flot.

14 févr. 2021, 12:30
Le plaisir de danser résiste à tous les virus, comme ici, à l'école Sun Star Dance.

Tout le monde galère, comme en témoignent les manifestations de ce samedi. Mais les écoles de danse, à cheval entre les arts et le sport, entre la formation et la création, sont en plus condamnées à des grands écarts à haut risque.

A lire aussi : Le silence assourdissant des milieux culturels

Le coup de grâce leur a été infligé à la veille des fêtes de Noël avec la suppression de tous les cours pour adultes (dès 16 ans). Pourtant, ces pédagogues passionnés tiennent bon. Cinq d’entre eux racontent…

Laurent Perrussel

«C’est tellement facile de décrocher quand on est chez soi…»

Les danses de couple sont interdites, mais pas l’esprit de dérision de Laurent Perrussel. Photo: Christian Galley

Ce n’est pas la salsa du démon, mais le blues du silence que danse Laurent Perrussel, seul dans l’immense salle de Résodanse-Station, à Neuchâtel. Comme toutes les danses de couple, ses cours...

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