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Covid-19: «Notre survie dépend de l’aide possible», soupirent ces tenanciers chaux-de-fonniers

Un printemps en demi-teinte et, à nouveau, des portes closes. Les tenanciers du bar Chez Eux, à La Chaux-de-Fonds, qui avaient exprimé leur dépit dans ces colonnes au mois de mai, font part de leur ressenti.

14 nov. 2020, 14:44
Carine Dessouslavy et François Winkler, dit Wivi, tenanciers du Bar Chez eux, à La Chaux-de-Fonds.

«On nous annonce bientôt tous les jours une nouvelle réglementation. On verra la manière dont vont évoluer les choses. Mais si nous devions à nouveau arrêter, ce serait une catastrophe, s’exclamait, dans ces colonnes, Carine Dessouslavy, patronne de Chez Eux, à La Chaux-de-Fonds, juste après la réouverture de son bar, le 11 mai dernier, après deux mois et demi de portes closes.

Aujourd’hui, celle qui tient cet établissement avec son ami François Winkler et emploie une extra, évoque ses gros soucis d’indemnités potentielles. «En tant que patrons, nous n’avons plus droit au RHT (réd: réduction de l’horaire de travail), comme lors du premier semi-confinement. Mais peut-être aux APG (réd: assurance perte de gain)?» Elle soupire. «En ce moment, nous sommes plongés dans la paperasse.»

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