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Covid-19 et oncologie: «Avec ce virus, il ne faut pas relâcher sa méfiance»

Comment soigner les cancers alors que le coronavirus rôde? Alix Stern, la cheffe du département d’oncologie du Réseau hospitalier neuchâtelois, explique comment son équipe s’occupe des patients à haut risque en pleine pandémie. Reportage.

24 nov. 2020, 18:57
La doctoresse Alix Stern, cheffe du département d'oncologie du RHNE.

En cette fin d’après-midi, Alix Stern arrive au bout de sa journée de travail au département d’oncologie du Réseau hospitalier neuchâtelois (RHNE). La cheffe de département nous accueille dans l’ancien conservatoire de musique, au nord de l’hôpital Pourtalès, des locaux que l’oncologie occupe depuis une dizaine d’années.

Un département où l’activité ne diminue pas malgré le Covid-19, mais où l’on doit être particulièrement vigilant, le système immunitaire des patients oncologiques étant particulièrement fragile.

C’est là que les patients viennent suivre leurs traitements ambulatoires (comme les chimiothérapies) sur le Littoral. Mais le département est aussi présent à La Chaux-de-Fonds, avec un service d’oncologie-hématologie et un service de radio-oncologie pour les traitements de radiothérapie. Sur chacun des deux sites, l’oncologie propose au maximum huit places pour des traitements ambulatoires. Une consultation et des traitements oncologiques sont également proposés au Val-de-Travers.

Des traitements qu’on ne peut repousser

La doctoresse Alix Stern, jeune quadragénaire...

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