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Coronavirus: les dettes des pays émergents sont toujours plus élevées

Le FMI cherche à mettre en place des instruments limitant le risque de nouvelles crises financières. Il l’a expliqué jeudi lors d’une réunion à laquelle participait le patron de la BNS et Ueli Maurer.

09 avr. 2021, 00:01
/ Màj. le 09 avr. 2021 à 06:57
Bundesrat Ueli Maurer, rechts, und Nationalbankpraesident Thomas Jordan aeussern sich waehrend einer Medienkonferenz zum G20-/IWF-Treffen und zur Reform der globalen Unternehmensbesteuerung, am Donnerstag, 8. April 2021 in Bern. (KEYSTONE/Peter Klaunzer)

«Il est inévitable que les dettes augmentent pour financer les mesures destinées à combattre la pandémie. Mais il est tout aussi important que ces dettes soient stabilisées». Au sortir jeudi en fin d’après-midi de la réunion de printemps - tenue par vidéoconférence - du FMI et de la Banque Mondiale, Thomas Jordan, président de la BNS, s’est félicité que les institutions de Bretton Woods soient parvenues à un accord pour augmenter l’aide aux pays les plus pauvres en prolongeant de six mois leur moratoire sur leurs dettes, en plus de l’octroi d’une nouvelle ligne de crédit de 650 milliards de dollars. Mais, a-t-il ajouté: «passés ces six mois, ces pays devront trouver d’autres solutions pour stabiliser leur dette».

Passés ces six mois, ces pays devront trouver d’autres solutions pour stabiliser leur dette.
Thomas Jordan, président de la BNS

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