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Clubs neuchâtelois: le casse-tête du retour de vacances des joueurs étrangers

La résurgence du Covid-19 encourage certains pays à confiner à nouveau leur population. A l’heure actuelle, 42 pays sont considérés à risque par la Confédération, mais ce chiffre ne cesse d’évoluer. Nous avons demandé aux quatre principaux clubs neuchâtelois de quelle manière ils vont gérer cette situation.

24 juil. 2020, 05:30
Mitar Trivunovic, coach assistant d'Union Neuchâtel, devra rester dix jours en quarantaine une fois de retour de Serbie.

Neuchâtel Xamax, le HC La Chaux-de-Fonds (HCC), le NUC et Union Neuchâtel: quatre clubs, quatre manières de gérer une situation de crise sanitaire, celle imposée par le Covid-19. Tous en pleine pause estivale, hormis les «rouge et noir» qui ont encore trois journées de championnat à disputer, les hockeyeurs, volleyeuses et basketteurs mercenaires profitent de retourner chez eux pour se ressourcer.

Problème, la présence ou la résurgence du coronavirus dans certains pays crée un casse-tête logistique. En effet, le Conseil fédéral a décidé d’imposer dix jours de quarantaine lors de retour des pays considérés à risque. Ce jeudi 23 juillet, 42 d’entre eux sont inscrits sur cette liste. Parmi eux, les Etats-Unis, plus grand «fournisseur» de mercenaires des clubs neuchâtelois avec sept représentants. La situation est néanmoins appelée à évoluer. Comment les clubs gèrent-ils cette période?

Deux mois à l’avance et on est déjà dans le super futur.
Jo Gutknecht,...
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