Zut, j’ai oublié d’écrire ma chronique. Désolé. Vous n’avez qu’à en republier une ancienne. Personne ne remarquera.
C’est la farce que je pensais faire à la rédaction cette semaine. Mais comme je dois rendre mon joyeux pensum le vendredi et que le 1er avril était jeudi, je pense que je me serais fait démasquer.
J’adore la tradition des farces du premier avril. Une fois dans l’année, même les très (trop) sérieux médias se permettent le badinage. Ils y vont avec des pincettes. Il faut que ça ne froisse personne, que ce soit assez gros pour que le public ne s’y fasse pas vraiment prendre, mais presque, et que l’on puisse en rire. Un peu.
C’est peu un jour de blague par année. Les canulars donnent pourtant un côté léger à toute la journée. Il y a la double satisfaction de s’être (presque) fait avoir et d’avoir démasqué la supercherie. Si...