Je croyais naïvement qu’une fois sorti de l’école, j’en aurais fini avec les notes. Si j’ai bien eu quelques années de répit à la fin de ma brillante scolarité (je ne vérifie pas mes sources, merci d’en faire de même), les notes reviennent dans ma vie au grand galop. Et dans la vôtre aussi probablement. Il ne se passe pas un jour sans que l’on nous demande de noter un objet, un service, ou pire, une personne.
Nous sommes tous devenus des évaluateurs. C’est sur nos frêles épaules que repose maintenant la responsabilité de faillites, licenciements voire suicides chez les mal notés.
Même en sortant des lieux d’aisances nous devons choisir entre trois «smileys» pour évaluer la propreté du lieu. Moi je mets toujours les notes au hasard, je suis un rebelle. Sauf dans les toilettes. Si elles sont crasseuses, tout le monde aura pressé sur le bouton «sale». Ne...