Credit Suisse, comme d’autres banques, entre les annonces de bénéfices grassouillets et les fermetures d’agences en découlant (la logique des banquiers me dépasse parfois, mais je ne suis pas banquier), nous sort régulièrement des études sur la vie (économique) des Suisses.
Ça permet de faire oublier un peu les ratés à quelques milliards sur les fonds de placement.
Cette semaine, l’étude porte sur l’âge auquel les jeunes Helvètes quittent le douillet nid familial. Nid que ladite étude nomme dédaigneusement «l’hôtel parental». De là à ce que Guy Parmelin fournisse les «oreillers de paresse» pour l’hôtel, il n’y a qu’un pas.
L’étude ne fournit pas de solutions aux parents désespérés de voir leur progéniture s’accrocher au cocon familial, mais se questionne surtout sur l’âge auquel la nouvelle génération va pouvoir contracter son premier emprunt hypothécaire. Donc se lier pour le meilleur et pour le pire à sa banque. Et c’est là...