Notre cantonale police l’a annoncé cette semaine, elle se met en chasse des conducteurs bruyants. Ou plutôt de leurs véhicules.
C’est que le son des vrombissants moteurs, s’il procure une excitation certaine à Monza ou au Mans (pendant 24 heures uniquement, après on se remet aux rillettes), est moins jouissif sur l’avenue du 1er-Mars ou le Pod. Certains jours, on n’entend même plus les lamentations des PC7 de l’armée à l’entraînement.
Certaines croyances prétendent que ceux (l’écriture inclusive n’est pas nécessaire ici) qui aiment parader bruyamment dans leur leasing ripoliné ont de petits kikis. Et qu’ils compensent. Que le problème se situe au niveau du tuyau d’échappement. Mais si tous les frustrés de la zigounette devenaient aussi bruyants, le port du Pamir serait obligatoire partout depuis longtemps.
Tous les porteurs de coupe mulet, dans les années 1990, rêvaient d’une Golf au hayon rempli d’un caisson de basses
Les seules fois...