Depuis le nouveau semi-re-dé-rere-confinement, on le sent bien, tout le monde a besoin d’air frais et de grands espaces. Ah la balade dans les champs de neige immaculée donnant l’impression d’être Roald Amundsen (pour les anciens) ou Mike Horn (le même, mais avec des autocollants de sponsors collés partout et une équipe télé qui filme. Mon respect va au caméraman, qui, lorsque l’aventurier helvético-sud-africain accompli un exploit, fait anonymement le même parcours en marche arrière).
Histoire de vivre moi aussi ma solitude dans la toundra du grand nord, je me suis aventuré dans la vallée de la Sagne. C’est devenu le Saint-Tropez hivernal neuchâtelois. Mais sans Bardot (pas le toit, la Brigitte).
Pour le champ de neige vierge immaculé, il faudra repasser. On y trouve une autoroute neigeuse, six pistes au moins, chaque sport voulant la sienne. Le ski de fond, le skating (un genre de ski de fond pour...