Vendredi 15 novembre, c’est la journée mondiale du recyclage. Youppie, je vais donc pouvoir vous refourguer une vieille chronique. Hop, ni vu ni connu, tel un sac noir dans un Molok. Mais j’ai la déontologie plus forte que la paresse (un chouïa). Alors je me fends d’une chronique toute neuve écrite uniquement avec de vieilles lettres et des vieux mots recyclés. Evidemment sur le thème du recyclage.
Comme j’essaie d’être un tantinet humoristique dans ma ponte hebdomadaire, j’hésite aussi à recycler quelques gags de seconde main. Mais Gad Elmaleh et ses collègues français m’ont piqué le concept. Et si l’on n’a plus d’idées originales quand on est auteur, c’est signe qu’il est temps que l’on se recycle. Ce qui me ramène au recyclage.
En cette période de prise de conscience écolo-climatique, entre autres techniques d’économie de bouts de chandelles (c’est utile en ces temps d’illuminations festives), les médias adorent nous...