Que diable allait-il faire dans cette arctique galère? Vais-je moi aussi tomber dans les fourberies des aventuriers modernes? Sûrement pas.
Il cherche un peu ce Mike Horn. Au secours, au secours, il y a une tempête et on se les gèle. Les doigts. Venez nous sauver. Mais pas tout de suite. Nous sommes à bout, on a peur de se faire bouffer par les derniers ours blancs, ils vont nous repérer de loin, on a fini le déo. Quel suspense bien organisé.
En allant traverser l’océan Arctique gelé, en novembre, il fallait s’attendre à ce que la météo ne soit pas au beau fixe. A Torremolinos ou Rimini, il y a moins de risques de gelures.
J’ai de la peine à comprendre ces nouveaux héros autoproclamés. Encore, avoir envie de traverser quelque jungle ou calotte inconnue, pourquoi pas. Mais je ne saisis pas ce besoin de le faire savoir au...