Bonne année! Bises, champagne et vœux. Ça, c’est fait. Cotillons, bombes et serpentins une fois sagement jetés-triés, voir ré-enroulés (par sens écologique évidemment), il va falloir affronter cette nouvelle année.
A peine l’Alca-Seltzer du 1er janvier digéré, surgit la terrible obligation morale de prendre des résolutions.
La bonne résolution étant la décision de vraiment faire tout ce qu’on aurait dû faire l’an dernier, mais qu’on a repoussé à l’an prochain pour d’obscures raisons. 2019, c’est stop à la procrastination, vive l’action (première résolution, m’assurer de la définition de procrastiner. Je le ferai demain. Promis).
J’ai repéré trois grandes catégories de résolutions.
Il y a la résolution de circonstance: manger plus sain. Quand on vient de finir une quinzaine spéciale foie gras et fondue chinoise, c’est assez évident de décider, entre deux renvois, de manger plus sain. Et plus léger. Et de boire moins. Quoique pour faire descendre le foie gras...