J’imagine aisément qu’en choisissant d’écrire une chronique sur cette thématique, je ne vais pas me faire que des amies. Ce n’est pas mon intention. Mais c’est l’actualité principale de la semaine. Et ça n’arrive que toutes les 25 années: La grève des femmes.
Même des Fêtes des vigneronnes il y en a plus souvent. Prudemment j’écris et j’envoie ces lignes avant la grève, au cas où la Nation serait bloquée dès vendredi.
Sur le fond, je suis d’accord. Avec toutes. Et comme preuve de solidarité, je n’écris cette épigramme qu’avec des lexies féminines (ça ne facilite pas la lecture, mais les femmes ne sont pas toujours faciles à lire non plus).
Sur la forme, je me permets d’émettre éventuellement l’hypothèse d’une hésitation (je prends des moufles): je trouve que les femmes de 2019, ont un peu la grève molle.
Une grève, c’est fait pour revendiquer, manifester, exiger, foutre la chienlit,...