Bon sang, mais c’est bien sûr. Comment n’y avait-on pas pensé plus tôt? Ce qu’il faut pour relancer l’économie neuchâteloise c’est: un mariage princier. Regardez les Roastbeefs: ils marient le numéro six dans l’ordre de succession au trône avec une roturière métisse de seconde main et hop, voilà les millions de livres sterling qui pleuvent sur le royaume telle une pluie quotidienne chassant le brouillard de la récession.
A coup de mugs qui brillent, de photos en relief qui font pouët-pouët, d’aimants hologrammiques pour frigo et de petits drapeaux commémoratifs, ils font remonter la bourse de la City telle la virilité du prince Harry lors de la nuit de noces.
Et tout ça en unissant un prince rouquin plus tout jeune qui a hérité ses petits yeux du côté de sa mère, et ses joues rouges du côté d’un capitaine de la cavalerie royale de son père, avec une actrice...