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Covid-19: sale temps pour les Neuchâtelois qui rêvaient de séjour linguistique

Adieu voyages, rencontres et découvertes. Près de 75% des séjours linguistiques planifiés par les Neuchâtelois sont tombés à l’eau en raison du Covid-19. Certains étudiants ont tout de même osé. Mais la majorité a renoncé. Quelles alternatives? Notre dossier.

11 déc. 2020, 12:00
Malgré la pandémie, quelques rares étudiants de l'Université de Neuchâtel ont maintenu leur échange avec une université étrangère. C'est le cas de Tibor, qui effectue un semestre de mobilité à Naples.

Ils rêvaient de partir à l’étranger, d’apprendre une nouvelle langue, de s’enrichir d’une autre culture: mais la pandémie de Covid-19 a empêché de nombreux jeunes Neuchâtelois de réaliser leur projet de séjour linguistique.

Certains ont tout de même franchi les frontières et bravé la crise (lire l’encadré), mais d’autres ont renoncé. «Je me sens frustrée et déçue», témoigne Aurelia Kraus, étudiante en sciences humaines à l’Université de Neuchâtel. Elle préparait un échange d’un semestre au Canada, mais son séjour a été annulé.

Nombreuses démarches vaines

Tout comme celui d’Alexei Porret, étudiant en langue et littérature allemande. Le jeune homme avait prévu de rejoindre l’Université de Bonn cet automne, mais ses plans sont tombés à l’eau. «Ce voyage me tenait à cœur», témoigne celui qui espère réaliser son projet en 2022.

Je ne peux pas mettre en place un autre échange pour l’année prochaine, étant donné que je ne serai plus...
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