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Canton de Neuchâtel: que faut-il privilégier pour choisir son métier?

Deux spécialistes donnent quelques pistes à explorer pour un jeune Neuchâtelois qui n’aurait pas encore trouvé sa voie. Ils expliquent aussi comment il peut mettre toutes les chances de son côté lors de son entrée sur le marché du travail.

16 déc. 2020, 05:30
Les compétences douces, ou "soft skills", jouent aussi un rôle important (photo d'illustration).

«La première chose, qui n’est pas rationnelle, c’est de faire quelque chose qui vous passionne», lance Jérôme Cosandey, directeur romand du think tank libéral Avenir Suisse. «Si vous êtes passionné, vous aurez soif d’apprendre et cela vous aidera automatiquement à développer vos forces».

Autre conseil, miser sur les langues: «Savoir l’allemand, c’est un véritable avantage en Suisse. On dit souvent qu’il faut savoir l’anglais, mais aujourd’hui tout le monde le parle», poursuit-il.

«Il est vrai qu’il vaut mieux réfléchir aux débouchés qu’offre une formation. Pas qu’elle ne soit pas intéressante, mais si elle en permet peu, il faudra parfois s’attendre à avoir un salaire inférieur à son niveau d’études», souligne Jérôme Cosandey.

Si quelqu’un s’engage et reste attentif à toujours élargir son éventail de compétences, je ne me fais pas de souci pour lui.
Jérôme Cosandey, directeur romand d’Avenir Suisse

L’importance des «compétences douces»

«En général, on peut dire que...

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