«La première chose, qui n’est pas rationnelle, c’est de faire quelque chose qui vous passionne», lance Jérôme Cosandey, directeur romand du think tank libéral Avenir Suisse. «Si vous êtes passionné, vous aurez soif d’apprendre et cela vous aidera automatiquement à développer vos forces».
Autre conseil, miser sur les langues: «Savoir l’allemand, c’est un véritable avantage en Suisse. On dit souvent qu’il faut savoir l’anglais, mais aujourd’hui tout le monde le parle», poursuit-il.
«Il est vrai qu’il vaut mieux réfléchir aux débouchés qu’offre une formation. Pas qu’elle ne soit pas intéressante, mais si elle en permet peu, il faudra parfois s’attendre à avoir un salaire inférieur à son niveau d’études», souligne Jérôme Cosandey.
L’importance des «compétences douces»
«En général, on peut dire que...