Après le savoureux «39 rue de Berne», où le narrateur racontait l’histoire de sa mère prostituée aux Pâquis à Genève, le tendre et drôle «Trinité bantoue», où Mwána, venu du fictif Bantouland, tentait de gagner sa vie avec son compagnon grison, et «Confidences», où la malicieuse Ma Maliga narrait l’histoire de l’indépendance camerounaise, «Loin de Douala» suit le voyage de Jean et Simon du sud au nord du Cameroun pour retrouver Roger, grand frère adoré, passionné de football, et maltraité par sa mère qui veut «boza», c’est-à-dire ...
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