"Gold Dust", Deutsche Grammophon, 2012. En concert le dimanche 10 mars au Caprices Festival de Crans-Montana.
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Il y a vingt ans, le monde découvrait, ébahi, le talent incandescent de la rousse incendiaire Tori Amos. "Little Earthquakes" lançait une carrière icônique, celle d'une chanteuse et poétesse libertaire et indomptable qui marqua profondément plusieurs générations d'hommes et de femmes. Mais aujourd'hui, les sables du temps sont meubles sous les pas des chanteuses ayant dépassé la quarantaine. Consciente et farouche, Tori Amos a décidé de cheminer vers l'immuable noblesse du classique, en signant sur le mythique label Deutsche Grammophon. Son dernier album, "Gold Dust", est une célébration en grande pompe de ces vingt années exemplaires d'intégrité, une collection des titres phares de la belle, illuminés par les cordes hollandaises du Metropole Orchestra.
A chaque fois que vous sortez une compilation d'anciens titres, vous les réenregistrez dans une nouvelle version. Vous ne vous...