En 2010, nous avions bien ri au spectacle souvent désopilant des mésaventures d’un nouvel antihéros au nom à consonance vaguement soviétique. Trois ans plus tard, la suite des mésaventures du vilain Gru nous avait encore un brin déridés.
Toujours co-réalisée par le cinéaste d’animation français Pierre Coffin, la troisième mouture de cette franchise à succès produite par une filiale de la major Universal nous laisse plutôt de marbre, même si elle devrait franchir la barre, impressionnante, des trois milliards de recettes mondialisées, la faute à un scénario rachitique qui se contente de gérer le...